ÉDITORIAL du 2ème bulletin trimestriel CGHPM 2018 n°2 JUIN

Débuter sa généalogie familiale peut paraitre fastidieux au premier abord.

Néanmoins, on se prend vite au jeu, au fur et à mesure des recherches dans les registres d’état civil, ou parfois même à partir de photos jaunies découvertes par hasard dans « la vieille malle » retrouvée au grenier. Il faut tout de même de la méthode et de l’abnégation !

Après des semaines passées à répertorier, vérifier et classer les informations, vient (immanquablement) l’heure de la transmission !

Grand moment d’émotion pour le généalogiste qui, au cours d’un repas en famille le plus souvent, dévoile les « trouvailles » à ses enfants, ses petits-enfants, voire à la cousinade toute entière ! Tout fier de leurs apprendre que tonton Joseph est mort, en fait, en déportation en 43, que l’oncle Ange, lui, est revenu vivant du Stalag de Silésie en 45, que l’aïeule Jeanne s’était mariée (il y a des lustres !) … à 14 ans avec l’accord de l’évêque et la bénédiction du curé !

C’est cela la Généa–Logie ! La Science de nos Origines !

Souvenez-vous de la devise du cercle : « Le généalogiste ne porte jamais de jugement, il prend acte tout simplement. »

Bonnes recherches à tous.

Le Président

René Yves Dubos

 

SOMMAIRE

1911-1918 : une Principauté et 3 communes (suite & fin)

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